Si je peux me permettre, Jean Mercier-Pageyral est mort en 1987, il était ingénieur des Arts et Manufactures comme son père.
Il manque également sur l’arbre Hélène Mercier Pageyral (1898-1902)
🙂
Merci pour les commentaires;
L’année du décès de Jean Mercier-Pageyral est corrigée et j’ai ajouté ajouté le titre.
L’absence d’Hélène est volontaire : la dernière génération placée sur cet arbre est faite pour que les descendants actuels puissent se raccorder. Dans la version initiale Simone n’y figurait pas non plus : je l’ai rajoutée pour que les descendants Gueydan se situent.
Oui je me situe très bien, merci du raccord! Cest parfait.
Mais « ingénieur des Arts et Manufactures » c’est le nom du diplôme de l’école Central non? Le nom de son poste c’est Ingénieur principal des mines de la Cie française des mines du Laurium par exemple, ou Directeur et administrateur général de la Société des Mines de Naltagua.
Mais c’est long à écrire dans un arbre généalogique.
Effectivement c’est le nom de sa formation à l’école centrale.
Il n’est pas possible à ce niveau d’être plus précis :
– il a été ingénieur puis ingénieur principal des mines du Laurium de 1890 à 1897
– puis directeur des mines (de Batère et Las Indis) à Arles sur tech de 1897 à 1900
– directeur de la mine du djebel ressas de 1900 à 1918
– parallèlement il dirige une mine en Algérie, il est administrateur de plusieurs autres; il achète même une mine de manganèse dans l’aude avec un de ses beaux frères et la met en exploitation avant de la vendre; il fait aussi plusieurs explorations préparatoires sur le terrain avant la mise en exploitation de mines diverses (Algérie, Maroc, France … ); il fait même une étude pour la création d’une usine électrique hydraulique sur la Dordogne à Bergerac.
– à partir de 1914 il est directeur des mines de Naltagua, puis en devient administrateur; il fait partie de nombreux conseils d’administration (je ne suis pas certains de tous les avoir trouvés!)
Il a eu de multiples casquettes, donc tout choix serait réducteur.
C’est comme pour son fils, mon père Jean : il est dit ingénieur des arts et manufactures comme son père. Dans sa vie il a été ingénieur puis directeur de la zinc manufacturing co à Tunis, ingénieur puis directeur des mines de Naltagua, ingénieur puis directeur à la compagnie du gaz et des eaux de Tunis, ingénieur puis administratif à EDF, puis à la centrale sidérurgique de Richemont … il a même été comptable dans une société pendant 1 mois ou 2
Donc tous ces éléments apparaissent dans des notices biographiques, toujours en évolution au gré de mes trouvailles; celle d’Albert fait 7 ou 8 pages de texte
4 commentaires
Yves
Si je peux me permettre, Jean Mercier-Pageyral est mort en 1987, il était ingénieur des Arts et Manufactures comme son père.
Il manque également sur l’arbre Hélène Mercier Pageyral (1898-1902)
🙂
BMPageyral
Merci pour les commentaires;
L’année du décès de Jean Mercier-Pageyral est corrigée et j’ai ajouté ajouté le titre.
L’absence d’Hélène est volontaire : la dernière génération placée sur cet arbre est faite pour que les descendants actuels puissent se raccorder. Dans la version initiale Simone n’y figurait pas non plus : je l’ai rajoutée pour que les descendants Gueydan se situent.
Yoan
Oui je me situe très bien, merci du raccord! Cest parfait.
Mais « ingénieur des Arts et Manufactures » c’est le nom du diplôme de l’école Central non? Le nom de son poste c’est Ingénieur principal des mines de la Cie française des mines du Laurium par exemple, ou Directeur et administrateur général de la Société des Mines de Naltagua.
Mais c’est long à écrire dans un arbre généalogique.
BMPageyral
Effectivement c’est le nom de sa formation à l’école centrale.
Il n’est pas possible à ce niveau d’être plus précis :
– il a été ingénieur puis ingénieur principal des mines du Laurium de 1890 à 1897
– puis directeur des mines (de Batère et Las Indis) à Arles sur tech de 1897 à 1900
– directeur de la mine du djebel ressas de 1900 à 1918
– parallèlement il dirige une mine en Algérie, il est administrateur de plusieurs autres; il achète même une mine de manganèse dans l’aude avec un de ses beaux frères et la met en exploitation avant de la vendre; il fait aussi plusieurs explorations préparatoires sur le terrain avant la mise en exploitation de mines diverses (Algérie, Maroc, France … ); il fait même une étude pour la création d’une usine électrique hydraulique sur la Dordogne à Bergerac.
– à partir de 1914 il est directeur des mines de Naltagua, puis en devient administrateur; il fait partie de nombreux conseils d’administration (je ne suis pas certains de tous les avoir trouvés!)
Il a eu de multiples casquettes, donc tout choix serait réducteur.
C’est comme pour son fils, mon père Jean : il est dit ingénieur des arts et manufactures comme son père. Dans sa vie il a été ingénieur puis directeur de la zinc manufacturing co à Tunis, ingénieur puis directeur des mines de Naltagua, ingénieur puis directeur à la compagnie du gaz et des eaux de Tunis, ingénieur puis administratif à EDF, puis à la centrale sidérurgique de Richemont … il a même été comptable dans une société pendant 1 mois ou 2
Donc tous ces éléments apparaissent dans des notices biographiques, toujours en évolution au gré de mes trouvailles; celle d’Albert fait 7 ou 8 pages de texte